Reseña del editor:
Le Figaro du 23 janvier 1868 à propos de Thérèse Raquin : «C'est le résidu de toutes les horreurs. Le sujet est simple, le remords physique de deux amants qui tuent le mari mais qui, ce mari tué, n'osent plus s'étreindre, car voici le supplice délicat qui les attend : "Ils poussèrent un cri et se pressèrent davantage, afin de ne pas laisser entre leur chair de place pour le noyé. Et ils sentaient toujours des lambeaux de Camille, qui s'écrasait ignoblement entre eux." Enfin, un jour, ces deux forçats de la morgue tombent épuisés, empoisonnés, l'un sur l'autre, devant le fauteuil de la vieille mère paralytique, qui jouit intérieurement de ce châtiment par lequel son fils est vengé... Forçons les romanciers à prouver leur talent autrement que par des emprunts aux tribunaux et à la voirie.»
Contraportada:
'Therese Raquin' is a clinically observed, sinister tale of adultery and murder among the lower orders in nineteenth-century Paris. Zola's dispassionate dissection of the motivations of his characters, mere 'human beasts' who kill in order to satisfy their lust, is much more than an atmospheric Second Empire period-piece. 'Therese Raquin' stands as a key early manifesto of the French Naturalist movement, of which Zola was the founding father. Even today, this novel has lost none of its power to shock.
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